Le Pays Mambay, Pays du Tourisme

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  Prisonniers du dogme

Les Prisonniers du Dogme
Partie I

Yaoundé, le 26 octobre 2008
IBRAHIMA ALIM PATHE
 
 

Le Reveil Culturel ne fait que commencer et les fils du peuple Mambay s'interrogent sur les valeurs ancestrales de leur peuple et s'attaquent au noyau du spirituel y comprise la religion.  Le peuple Mambay est retardé psychologiquement et mentalement par les religions étrangères. Selon les déclarations des villageois Mambay, les croyances étrangères auraient détruit et continuent encore à détruire la civilisation Mambay.  Les communautés Mambay actuelles sont des foyers de désordre culturel, social, économique. L'Immoral, l'Hypocrisie, le Mensonge, la Violence, la Calomnie, l'Adultère, la Malveillance, le Mépris dans des communautés Mambay sont hérités des croyances étrangères mal importées et mal interpretées.  Conscient de tout ce qui précède, un frère Mambay affirme: " Les religions étrangères font sans doute plus de victimes que le SIDA dans les communautés Mambay."

Voici un témoignage d’un grand connaisseur du Coran et de l’Islam, tiré d’un de ses articles sur les religions hébraïques.

 
CONTENU:
1. Le complot islamo-peuhl a surpris le peuple Mambay
2. Les différentes couches sociales en milieu musulman
3. Le village Kakou et l’Islam
4. L’Islam de forme et non de fond
5. Prière ou Culte militant ?
6. Retour au raisonnement
7. La nation du mot « DIEU »           
8. Définition de la religion
9. La notion du mot « KAFIR »
10. La notion de DIEU et de SATAN
 
 
1. Le complot islamo-peuhl a surpris le peuple Mambay
L’aventure est téméraire: celle qui consiste à remettre en cause un dogme qui, dans centaines d’années durant, a tenu des peuples au respect : l’Islam.
Propagé par la force, cette religion a trouvé des adeptes qui se sont soumis par peur plus que par conviction. Avec la création des états et des forces de défenses, la guerre de conquête dite guerre « sainte » a perdu du terrain et la personne morale qui est l’état a pris de l’autorité sur les considérations religieuses. Seul dans le monde arabo-musulman, les frasques de quelques individus, flattés par des prédications enflammées, les poussent à prendre des armes pour défier l’autorité de l’état. Le peuple Mambaye, mon peuple, est le principal concerné par le message que je véhicule.
 
Le Mambaye a, par le passé, opposé une lutte farouche aux combattants d’Ousman Dan Fodio qui, sous-couvert de la guerre « sainte » ont colonisé beaucoup de peuples de Sokoto (Nigéria) jusqu’au nord-Cameroun. Après sa victoire, le Mambaye a eu à faire face à une autre forme de guerre qu’il n’a pas vue venir : la guerre psychologique.
Celle-ci consiste à créer en vous un complexe vous faisant croire que l’appartenance à votre milieu est une honte sociale. Le Mambaye qui n’aime pas l’humiliation cède et capitule. Il a honte de sa langue, de sa culture, de son nom. Les peuhls et les Haoussas, grands « Maîtres » de l’Islam ont profité de cette situation pour donner leurs propres noms parfois aux Mambayes. Leurs noms à eux ont été agrées comme noms « musulmans ». Le Mambaye qui avait un arsenal rituel mystique très impressionnant, s’en est débarrassé. Il veut ainsi se conformer aux « paroles de Dieu ». La duperie a réussi. Mais le vrai handicap du Mambaye vient du manque de culture générale, du fait qu’il ne cherche pas à s’ouvrir vers le mon extérieur, de son insociabilité comme l’ont pu le constater les membres du bureau DILOMA de Garoua. Si le Mambaye était ouvert, il aurait compris qu’il ne doit pas abandonner ses traditions au nom d’une quelconque religion, que les HAOUSSAS continuent à danser leur « kalangou », leur « koukouma », que les Puhls continuent à danser leur « gandjal », leur « gnawala », leur « tchidal » et que lui, le Mambaye, est victime d’un complot des peuples assoiffés du pouvoir de domination. A côté de cela, le Mambaye éprouve le besoin de se faire accepter dans le milieu où il vit et où l’espace social est conditionné par l’Islam ; lui, n’ayant pas réussi à créer un espace social souverain.
 
 
2. Les différentes couches sociales en milieu musulman
On peut distinguer deux couches sociales en milieu musulman:
·         ceux qui disposent d’une source de revenu honnête qui leur
permet d’assurer leur survie quotidienne (fonctionnaires, commerçants, artisans, techniciens…) et
·         ceux qui, poussés vers l’extrême par une foi aveugle, ont tourné
le dos au travail pour se consacrer au culte d’Allah car, c’est DIEU QUI NOURRIT L’HOMME ; à longueur de journée, ils passent leur temps dans les mosquées, lisant le Coran et participant aux prières collectives. La nuit, ils passent leur temps à égrener leur chapelet, récitant cinq cents, mille fois une formule à partir de laquelle l’on leur a vendu l’idée qu’ils peuvent s’attirer la faveur d’Allah et peuvent obtenir de manière miraculeuse ce dont ils ont besoin. Ils n’obtiendront jamais rien de cette manière. Puis, pris au piège de la survie, ils trempent dans la malhonnêteté et organisent une mafia pour escroquer le plus naïf. Ils vantent à qui veut les entendre la puissance mystique de tel ou tel marabout. Quand un naïf tombe dans leur nasse, ils exigent de lui des coqs et des moutons pour le travail. Celui-ci consiste à faire au nécessiteux des versets écrits sur une ardoise en planche. Le nécessiteux n’aura jamais le résultat escompté. Les coqs et les moutons constituent le butin des mafiosos-Maraboutana. Le naïf ne s’est rendu compte qu’on lui a vendu la peau de l’ours avant de l’avoir tué.
 
Pourtant, tout cela ne constitue pas aux yeux des auteurs de l’acte un péché. C’est un moyen de survie.
         Le plus préoccupant est l’avenir de ces adolescents qui sont inscrits à l’école coranique. Ils sont au nombre de vingt, trente, quarante parfois et même plus, tenant entre leurs mains des ardoises en planches sur lesquelles sont écrits des versets en langue arabe. Le maître (l’instituteur) tenant en main un fouet qui les oblige à réciter les versets qu’ils ne comprennent pas. Peu importe, c’est la parole de Dieu qu’on récite.
 
Après la capacité d’un enfant à lire tous les versets du Coran, il est consacré « Marabout » lors d’une cérémonie de clôture présidée par qui de droit. Reste que le nouveau intègre la vie active, c’est-à-dire trouve du travail pour assurer sa survie quotidienne. Il est en déphasage avec la vie actuelle, découvre un monde occidentalisée où tout est une initiative de l’occident : la conduite automobile, la couture, la mécanique, la bureaucratie, la médecine pour ne citer que ceux-là lui sont étrangers. Il suit donc la voie de son maître, apprend à mentir et à escroquer dans le style que j’ai décrit plus haut, ou devient tout simplement un délinquant qui finit la plupart du temps en prison.
 
 
3. Le village Kakou et l’Islam
Dans Mon village Kakou, cohabitent deux communautés : la communauté Haoussa appelée les « Kabawa » c’est-à-dire les habitants de Kabi (une ville du Nigéria) d’où ils viennent et les Mambayes autochtones. Les Haoussas sont donc ces musulmans immigrés qui sont venus s’installer à Kakou vers les années 1930 (et un autre groupe à Léré au Tchad) pour s’adonner aux activités de la pêche et qui ont donc profité pour impliquer les Mambayes de Kakou dans la religion islamique. Cette situation leur confère une certaine supériorité sociale sur les Mambayes qu’ils qualifient de « convertis », un peu comme la position du colonisateur face au colonisé. Leur seul handicap : ils ne maîtrisent pas le Coran rédigé dans une langue étrangère. Pour être « Marabout » il suffit de savoir réciter le coran (sans en connaître le sens), se vêtir d’un grand boubou, d’une chéchia et nouer un turban autour de la tête pour être appelé à présider les prières, les cérémonies de baptêmes et de mariage.
Le mariage intercommunautaire n’était possible que quand un Haoussa demande la main d’une fille Mambaye pour épouse. L’inverse était perçu comme une humiliation, voire une insulte, le Mambaye n’étant qu’un musulman de deuxième classe, c’est-à-dire un converti.
 
L’Islam a été interprété par la communauté Haoussa de Kakou comme une sorte d’anti-occidentalisme. Ce qui a empêché les Haoussa d’envoyer leurs enfants à l’école. Cette école présente comme une affaire des juifs qu’on qualifie d’ « ennemis de Dieu ». Pour ne pas avoir des démêlés avec Dieu, il ne faut pas pactiser avec ses ennemis. Autre raison, l’école vise le bien-être d’ici bas, alors qu’ils préfèrent la vie de l’au-delà. Ils veulent ainsi se conformer aux dernières phrases de la sourate « SABBI HISMA… »
 
Le ballon était appelé « kan annabi », c’est-à-dire « la tête du prophète ». La légende qui entoure cette situation est la suivante : au cours d’une des guerres sainte (ils ont tendance à croire que tous les messagers de Dieu ont fait la guerre sainte ) l’on a décapité le « prophète » Isaac et l’on s’est mis à jouer avec sa tête. Le ballon en est donc une imitation. Cette légende m’a fait rire aux éclats. Elle est la preuve que nos frères ne maîtrise ni la chronologie des religions, ni l’histoire du judéo-christianisme. D’abord que Isaac n’est que le fils d’Abraham (et non un prophète) et que cette légende illustre le mensonge le plus criard.
 
4. L’Islam de forme et non de fond
Leréel contenu du coran ignoré, l’origine du coran occultée, le débat contradictoire banni, le raisonnement combattu, l’Islam fait des victimes sur son chemin. La communauté Haoussa de Kakou, au nom de l’Islam ont refusé d’aller à l’école. Le code vestimentaire a été dicté par les tenants de l’autorité religieuse et non par le coran. Se vêtir à l’occidentale peut vous valoir la disqualification en tant que musulman ou l’isolement social et la seule communauté de Dieu, ce sont les musulmans. Est-ce à dire tous les être humains qui ont vécu sur terre durant la période pré-islamique sont tous des mécréants ? Cette situation a fait dire à un analyste que « l’Islam se présente comme un summum de révélation effaçant tout ce qui est antérieur… »
 
     Pourtant il suffit d’approcher cette religion pour vous rendre compte d’une chose : l’hypocrisie y règne en maître.
Les valeurs morales qui sont essentielles pour l’homme manque cruellement aux musulmans. Au sortir d’une mosquée, l’on peut constater la disparition d’une paire de chaussure (volée par un musulman). Cela ne constitue pourtant pas un acte répréhensible aux yeux de l’auteur. L’on peut également tricher avec la femme du voisin ou du frère à condition de ne pas se faire surprendre. C’est également toléré par rapport à celui qui s’abstient de « prier ».
 
5. Prière ou Culte militant ?
         Si l’on peut définir la prière comme cette séance de concentration durant laquelle l’homme adresse ses doléances à son créateur, le culte musulman semble beaucoup plus montrer son appartenance religieuse et sa fidélité aux obligations d’un dogme. Dans une séance de prière collective, l’on peut dénombrer 90% de fidèles qui ne comprennent pas ce qui se dit dans la prière, le culte étant prononcé dans une langue qu’ils ne comprennent pas. Le Mambaye prie donc dans une langue qu’il ne comprend pas et pratique une religion qu’il n’a pas choisie. Ayant vaincu l’armée d’Ousman Dan Fodio par la guerre, il a cédé à la pression des peuhls et des Haoussas. Il l’a fait pour s’épargner des belliqueux tels que « kado » ou « kéféro », ces termes dégradants (dans la conscience de Mambay) qui fait de vous un sous-homme, un moins que rien… Cette méthode semble avoir réussi aux colonisateurs.
Le Mambaye subit donc une acculturation. Il est maintenu dans l’inertie et la constipation intellectuelle. Il ne doit pas exister en tant que Mambaye. Sa culture est bannie. Le code vestimentaire lui est dicté. Il veut occulter lui-même son origine, fuyant sa langue maternelle et parlant la langue « idéale » (=le foufouldé) pour échapper au statut de musulman de deuxième classe, ce statut qui vous prive de tout honneur ou respect. C’est pour cela que, éprouvant le besoin de rendre compte de leur degré d’implication religieuse, les convertis tardifs ont pris la tête des mouvements islamistes et de l’islamisme militant.
Ils sont les plus agités et les plus hantés. Il suffit de voir leur acharnement à vouloir démontrer une fiction, ce monde de l’au-delà dont ils ont entendu parler mais qu’ils n’ont jamais vu.
 
Aliénés, ils le font avec une telle conviction qu’on croirait qu’ils en ont été des témoins oculaires. Ennemis de la raison et du raisonnement, ils cherchent à vous imposer leur point de vue refusant tout débat contradictoire. Ils font plus de victimes chez les ignorants et les ventre-mous. Ils réussissent à embarquer avec eux quelques intellectuels. Ces derniers, par peur d’affronter l’opinion, ont choisi de s’aligner pour être en paix. Ils ne sont pourtant pas en paix avec leur conscience. Ils ont réussi tout simplement à la brimer de peur qu’elle ne leur demande des comptes. Ils ont fui leur responsabilité, celle d’éclaireurs, celle qui leur aurait permis de stopper ce dogme, de démontrer par exemple qu’il n’existe pas de noms musulmans ; que ces noms sont des noms judéo-chrétiens arabisés. Ainsi Youssouf n’est que la forme arabisée du nom Yossef qui s’écrit « Joseph ». Younouss n’est que la forme arabisée du nom Yonass qui s’écrit « Jonas ». Issiaka n’est que la prononciation laxiste du nom Isaac et Yakoubou du nom Jacob Moussa n’est que la forme arabisée du nom Moïse dont l’original est Moshe (un nom juif dérivé du nom africain MOSSOUL=Sauvé de l’eau). Ilyassou n’est la forme arabisée du nom Elias et Harouna est l’autre prononciation du nom Aaron (un autre nom juif). La liste n’est pas exhaustive. Les autres noms sont des noms soit arabes, soit perses, kabiles ou arabo-berbères, kabiles ou pachtounes.
Les peuhls et les Haoussas l’ont si bien compris. Le Haoussa s’appelle Sani, Garba, Bala, Taoudo, Ouani, Oualé
Le peuhl s’appelle Bano, Lailatou, Loumbi, Karraror, djallo… Ils ont fait agréer leurs noms (par eux-mêmes) comme musulmans.
 
Si le Mambaye n’avait pas tourné le dos au raisonnement, il aurait perçu tout cela. Aujourd’hui, les islamistes Mambayes ont tout à vous dire sur la religion sauf la preuve de ce qu’ils disent. A la moindre démonstration mettant leur dogme à nu, ils frémissent, manifestent leur indignation, mais sont incapables de nous démontrer le contraire. Qu’ils comprennent qu’ils ont été trompés pendant longtemps ; Que les peuhls et les Haoussas se sont servi de l’Islam pour les phagocyter ; Que les Wolofs du Sénégal, très avertis ont bien compris le jeu. Ils ont réussi à stopper la phagocytose et ont imposé leur langue dans la capitale (Dakar) ; Que le Mambaye a pris du retard et qu’il est temps de revenir à nos sources en maintenant nos noms. La cérémonie de baptême lors de la naissance n’est nécessairement celle que les arabes nous ont imposée.
Le nom reflète toujours l’identité originelle de l’individu et non l’identité confessionnelle ; la recherche du nom dans un registre étranger est une absurdité. C’est d’ailleurs une affaire de l’homme et non de Dieu.
 
6. Retour au raisonnement
Si l’on peut admettre que le Coran est la parole de Dieu, est-ce à dire que Dieu a tenu la plume de sa propre main pour l’écrire ?  Bien sûr que non ! Je ne vois pas pourquoi l’on m’obligerait à faire cadeau d’une bienveillance aux rédacteurs au point de soustraire ce livre de toute déformation éventuelle ou de tout additif de la par des rédacteurs.
 
Des questions sont toujours restées sans réponses dans cette religion. Par exemple celle de savoir : pourquoi doit-on se tourner vers l’est (ou la Mecque) pour prier. Etant à la Mecque, pourquoi doit-on se prosterner devant une case (une pierre noir : Kaaba). Au moment où l’Islam condamne le christianisme pour sa trinité et considère ce culte comme une idolâtrie, on oblige les fidèles musulmans à se prosterner devant un panthéon (une pierre).
Au moment où la sourate « Koul houa) dit que Dieu n’a pas d’enfant et n’a pas été procréé, on reconnaît « Al Manat, Al alat et al Ouzza comme les filles d’Allah.
Autre trahison apportée par le même Coran la sourate « Li-ilafi ». En voici la traduction : « Par le pacte des Kouraïch, pacte concernant leur voyage d’hiver et d’été, qu’ils adorent donc le propriétaire de cette maison, lequel les a nourris contre la famine et les a rassurés contre la peur ».
Qui est le propriétaire de cette maison ? Est-ce Dieu dont on dit être le Très-Haut « allaou Ta ala » qui a une maison sur terre ? Ou alors celui qui se trouve à l’intérieur et qu’on qualifie de propriétaire ?
 
Il est difficile pour le musulman à ces questions. Cela rend vraisemblable la thèse des chercheurs. L’Islam en reconnaissant tous les personnages du Judéo-Christianisme et en refusant leurs cultes respectifs se contredit également. Toute personne se rendant à l’église ou à la synagogue ne peut échapper au mot « kafir » de la part du musulman.
 
Autre question sans réponse : pourquoi la prière doit-elle être prononcé en langue arabe uniquement ? Es-ce à dire que dieu n’entend que l’arabe ? Un islamiste m’a dit : c’est parce que le Coran a été révélé à Mahomet en arabe. Cette réponse m’a fait rire. Allah devrait-il s’adresser à un arabe en allemand ?
Le port de la barbe, voiles et autres signes religieux montrent que le mahométan est un prisonnier qui a construit sa propre prison. Il m’échoit l’honneur de les comprendre. Ils sont des victimes. Ils sont prisonniers d’un dogme.
 
 
7. La nation du mot « DIEU »
Le philosophe Lewis SPENCER disait, je cite : »… Je serais à l’origine des guerres si ma manière de voir Dieu est celle que les autres doivent admettre… ».
 
 Les prosélytes arabes ayant imposé leur manière de voir Dieu, conséquence, le monde arabo-musulman baigne dans le sang. L’aliénation morale leur fait prendre la guerre pour « sainte ». Le baromètre qui sert à déterminer quand une guerre est sainte n’étant pas le même, on assiste parfois à la guerre sainte intercommunautaire, les sunnites estimant que les shiites sont mécréants et vice-versa, s’entre-tuent.
Ainsi, le crime se trouve légalisé au moment où un homme consommant de la boisson alcoolisée pose l’acte le plus offensant à Allah.
En Afganistan, l’on peut trafiquer du pavot et au Pakistan de l’opium, deux drogues redoutables connues pour leur effet dévastateur au moment où l’on condamne la consommation de la bière.
 
        En 1978, un aliéné victime de ce dogme a déclanché une guerre au Nigéria. Il tuait pour Allah. L’armée fédérale a eu de la peine à venir à bous des adeptes de cette secte.
 
L’aliénation de l’homme islamiste est telle qu’il a des difficultés d’appréciation. Par exemple le crime lui paraît justifiable mais la consommation des boissons alcoolisées, un péché pire que le 11 Septembre 2001 aux Etats-Unis.
Le banal lui paraît préoccupant. Par exemple un islamiste qui ne laisse pas pousser sa barbe a des démêlés avec plus que les auteurs des attentats de Madrid.
Quand on signale la disparition d’une paire de chaussure au sortir d’une prière, c’est moins scandaleux qu’un musulman qu’on surprend en train de manger en plein mois de Ramadan. En milieu musulman, l’on semble beaucoup rendre compte à l’homme qu’à Dieu lui-même. Ce qui se passe dans les ténèbres en est une illustration. Ceux qui posent des actes horribles pour plaire à Dieu me semblent hantés. Ils me donnent une image d’un DIEU si faible qu’ils éprouvent le besoin de se constituer commissaires-priseurs pour faire appliquer ses lois.
 
La vision que j’ai de Dieu m’empêche d’accepter certains passages du coran. Commençons par la sourate « koul ya ayyou wal kafiroun ». Traduction : « O vous les Kafirs ! nous n’adorons pas ce que vous adorez et vous n’adorez pas ce que nous adorons. Vous ne serez jamais les adorateurs de ce que nous adorons et nous ne serons jamais les adorateurs de ce que
vous adorez. A nous notre religion et à vous la vôtre ».
 
Ce passage est belliqueux et se situe du côté des adorateurs pour dire cela et oublié qu’il est adoré.
          
 
               
8. Définition de la religion
 
          Le mot religion vient de religare, qui veut dire lier, donc relier à DIEU. Un penseur définit la religion comme suit : « La religion est une voie que quelqu’un s’est tracée pour atteindre le Dieu de son cœur et de sa compréhension ».
 
Dans cette définition, l’auteur évite de dire que c’est une voie tracée, mais dit : une voie que quelqu’un s’est tracée. C’est dire que tous les personnages du judéo-christianisme sont venus chacun avec son message et son culte. Qu’en pense le Mambaye ?
 
 
 
9. La notion du mot « KAFIR »
Est qualifié de « kafir » toute personne n’observant pas les obligations dictées par la doctrine de Mahomet, en tête desquelles les cinq prières quotidiennes, les seules agréées par Allah. Les prières des chrétiens et des judaïstes y comprise la spiritualité Mambay ne sont pas validées par l’Islam.
 
Ceci qui me fait croire que ce Dieu n’existe qu’avec l’avènement de l’Islam.
L’occident est considéré comme un monde des kafirs. Les purs, c’est à dire les musulmans ont pourtant besoin de leur technologie. Ils empruntent l’avion du kafir, ils illuminent leur Kaaba avec la lumière du Kafir, utilisent le téléphone du Kafir, la télévision du Kafir, se soignent avec des médicaments du Kafir, vendent leur pétrole au Kafir. Quand ils sont fonctionnaires ils utilisent le papier et la plume fabriqués par les kafirs, sa machine à écrire, son ordinateur, ses méthodes et sa méthodologie. Ils s’inscrivent dans les universités européennes, les universités des kafirs. Quand ils sont malades, ils se rendent dans les hôpitaux où les soins qui leur sont prodigués sont les résultats des recherches opérées par les kafirs.
 
Mais ces kafirs n’ont pas obtenus tout cela à l’église ou à la mosquée. Ils ont obtenu tout cela à partir de longues recherches.
 
Le musulman qui dévoué à Allah, qui respecte la parole d’Allah, qui prie régulièrement, qui est un modèle d’existence selon sa doctrine n’a rien fait pour le bien-être de l’humanité. Son bilan sur cette planète est long et plus long que le total des chapelets égrenés par tous les musulmans du monde entier: les tueries, l’hypocrisie, l’ostracisme, le mépris de l’autre. Le bilan est le plus horrible dans toutes les traditions des peuples africains.
 Et quand il est invité à la table de négociation, il y est allergique, car il est ennemi de la raison. Et quand il est pris au dépourvu par une question concernant sa religion, sa réaction est la violence.
 
Tout ce qui précède m’amène à conclure que les musulmans sont hantés et possédés. Et l’esprit qui est en eux est un esprit malsain. Partout, ils oeuvrent pour la capitulation de la raison ; en d’autres termes, ils islamisent les gens. Ils veulent rendre leur dogme épidémique et endémique.
 
10. La notion de DIEU et de SATAN
L’on définit souvent Dieu comme la Force du bien, l’Amour, la Vérité. Mais à la lecture du chapitre 5 verset 33 du coran, Dieu se confond à Satan. Le message véhiculé dans cette sourate est d’une telle violence et d’une telle barbarie que je ne puis l’attribuer à Dieu dans cette sourate, le musulman est un modèle d’existence qui doit donner des leçons aux autres mais pas des leçons de morale ; en voici la teneur :
«… Voici la récompense de ceux qui combattent Allah et son prophète et qui utilisent tous les moyens pour semer le désordre sur terre : Vous les mettrez à mort ; vous leur ferez sur la supplice de la croix ; vous leur couperez les pieds et les mains de manière alternée ; ils seront chassés de leur pays ; l’ignominie les couvrira ici-bas et un cruel châtiment les attends dans l’autre monde… »
 
Où donc se trouvent Amour, la force du bien ici ?
 
SATAN: est une invention dans des religions judéo-chretiennes ; et comme l’Islam n’aura rien inventé quant à la théologie, parce que dérivé des textes religieux juifs et chrétiens, il ne peut en dire plus que les Grecs et les juifs.
 
Un esprit fort et maléfique (Satan) égal au Créateur Suprême (Amour, Vérité, Esprit Mère) n’existe dans aucune théologie africaine. En Afrique, on connaît le Créateur Suprême de toute chose, comme étant unique, n’ayant pas d’égal. Chacun l’appelle à sa façon dans sa langue maternelle. On connaît aussi des mauvais esprits ; mais pas un esprit fort et maléfique qui donne du fil à retordre au Créateur Suprême.  On connaît aussi que les pensées mauvaises de l’homme peuvent créer des êtres spirituels négatifs. On connaît aussi que des personnes malveillantes et adeptes des actes immoraux ne rejoignent pas le royaume des ancêtres et qu’après la mort, elles finissent par errer sous formes d’esprits maléfiques et malveillants. Certains malheurs résultent des actes des humains ou des forces de la nature et non de Satan.
 
Quand les intégristes islamistes et fondamentalistes musulmans tuent et sacrifient des humaines au nom d’Allah, cela veut dire que ce dernier cautionne tout simplement le crime et par conséquent il ne peut en aucun cas prétendre être le Créateur Suprême, au même titre que SIKETI le Créateur Suprême dans les croyances Mambay. SIKETI des Mambay est juste, Amour, Vérité et Esprit Mère.
 
Les miracles des envoyés de Dieu et les satanistes Mambay :
Les chrétiens et musulmans ont fait croire au Mambaye que ses connaissances et sa maîtrise de certains secrets du cosmos étaient d’origine Satanique. Quand ils prêchent ils ne cessent de faire des éloges deleurs envoyés de Allah ou de Yaweh :
-         Moise prit une canne et frappa la mer rouge qui se scinda en deux.
-         Jésus transforma de l’eau en vin, guérit des malades miraculeusement, marcha sur le lac, ordonnait aux vents, au ciel, aux vagues de la mer, la liste est longue.
 
Mais ces religieux judeo-chrétiens y compris les convertis Mambay, n’entendent pas de bonne oreille qu’on leur parle des miracles Mambay:
-         marcher sur l’eau était chose courante chez les Mambaye ;
-         multiplier de la nourriture pendant des fêtes ou des travaux collectifs dans des champs (« Uaarah) est aussi très fréquent ;
-         les Mambayes ont créé des points d’eau intarissables sur des montagnes Lambei, Tara, Manga, depuis près d’un demi siècle ;
-         il y avait chez les Mambay des gens capables de bloquer la pluie si le chef du village estimait la nécessité. Par exemple pour célébrer certaines cérémonies (par exemple la fête) des chefs de village faisaient recours à ces divins, qui bloquaient les pluies durant la période requise ;
-         pendant des périodes arides au cours d’une saison des pluies, les populations se rendaient auprès d’un prêtre pour demander à ce dernier de faire tomber de la pluie ;
-         dans chaque village Mambay, il y avait des gens qui faisaient multiplier dans l’eau des poissons.
 
Il faut tout simplement comprendre ici que ce n’est pas un affaire de
Satan, mais plutôt une affaire de domination et de colonisation, car pour coloniser un peuple, il faut toujours songer dans un premier temps à la domination mentale. Le reste vient seul. C’est ce qu’ont fait les pasteurs des religions hébraïques !
 
         En acceptant que ses propres pratiques et connaissances sont d’origine maléfique, on cède automatiquement à la colonisation mentale. Après cette étape on ne peut que recevoir des lavages des cerveaux. L’orientation mentale et spirituelle brouillée, saura-t-on où l’on va ? Parviendra-t-on à discerner le vrai du faux et le bien du mal ?
 
 
11. Biographie de Mohamet et Origine de l’Islam
 
Mahomet côtoya les juifs. Il fut prosélyte d’un rabbin. Il fut initié à la psalmodie de certains textes bibliques. Il se livre au prosélytisme à la Mecque, fit quelques adeptes, mais dût se réfugier à YATRIB (l’hégire), se présenta comme le messie (Mahdi), fut rejeté des juifs qu’il massacra et revint en force sur la Mecque et en fit sa capitale en modifiant les données du culte païen qui s’y pratiquait. Le fondement de l’Islam est païen. Sa forme est empruntée au culte juif. Allah n’est donc que cette pierre noire qui se trouve à l’intérieure de la Kaaba devant laquelle tout fidèle doit se prosterner. C’est ce qui explique que chaque fidèle doive chercher la direction de cette pierre. Nous autres, affranchis des apories de la vulgate islamique officielle, nous contentons de cette version.
 
Le Mambaye croit qu’on ne peut arriver à Dieu que par la négation de soi. Qu’on doit cesser de s’appeler Kami pour être Abdouraman, faute d’être rejeté par Dieu. Il croit également que se défaire de l’Islam, c’est s’éloigner de Dieu. Que le tourisme auquel il est invité à faire au royaume d’Arabie est un acte purificateur. Il ne voit pas les enjeux économiques de ce tourisme que  ce royaume utilise pour assurer la santé de son économique. On demande donc sa participation en lui imposant ce voyage qu’on qualifie de cinquième pilier de l’Islam.
 
Le Mambaye ferait mieux d’aller honorer la mémoire de ses ancêtres massacrés par les Allemands en se recueillant sur leurs tombes même une fois l’an.
 
Le Mambaye ne fait las différence entre la parole de Dieu (contenue dans le coran) et la parole de l’homme contenue dans les brochures appelées « hadiths » qui sont les analyses des soi-disant docteurs de la foi. Ces derniers interviennent chaque fois qu’il y a vide juridique dans la vie sociale du fidèle. Le livre fondamental portant la marque de l’époque de sa rédaction, présente des aspects caducs. Par exemple une loi vient d’être votée en république islamique d’Iran, autorisant le mariage temporaire entre les jeunes, Allah ayant omis de la prévoir. Le gouvernement d’Iran se substitue donc à Dieu pour légiférer. Nous attendons d’ailleurs les hadiths contenant ces dispositions pour endormir les Mambayes. Le port de barbe est une affaire de l’homme et non de Dieu, ainsi que le code vestimentaire.
 
Le procédé qui consiste à écrire le coran sur des ardoises en planche et à faire boire le nécessiteux ne date pas de Mahomet. Ce dernier ne l’a jamais fait et ne l’a jamais recommandé. Il s’agit d’une farce de la part de ceux qui, convaincus que l’homme a été créé uniquement pour adorer Dieu, n’ont appris aucun métier dans leur vie. Ils ont donc eu l’ingénieuse idée d’occulter des versets coraniques, passant de l’état de messages destinés aux hommes pour être des écrits ayant des vertus thérapeutiques. D’ailleurs une lueur commence à mettre à nue cette supercherie et les auteurs ne trouvant plus de « proie » sont au chômage et préfèrent errer à la recherche des dernières poches de naïfs.
         Quand le Mambaye brisera le tabou, lorsqu’il se passera de la censure, lorsqu’il aura l’audace de lire, lorsqu’il laissera libre cours au jugement de sa conscience, lorsqu’il sera fier d’être Mambaye, lorsqu’il comprendra que d’autres se servent de la religion comme un instrument politique et que lui, est la principale victime, que cette nature n’est mystère et nul ne peut définir Dieu sinon chacun à sa façon, lorsqu’il étudiera l’ésotérisme et exotérisme, lorsqu’il aura la force de se cramponner à conclure sans tenir compte du qu’en-dira-t-on…
Il aura gagné la bataille. Il aura appris le fair-play et aura appris à dire à ceux qui pensent autrement que lui : ceci n’est que leur point de vue, moi je continue à y croire…, alors il aura gagné la guerre. Il sera lui-même, c’est-à-dire un Mambaye qui n’a pas honte de son nom, de sa langue, de ses valeurs, de son origine, de son identité, alors il se serait réconcilié avec lui-même et avec ses ancêtres.  
 
La civilisation Mambaye reste encore suspendue dans l’air; il faut absolument une réconciliation avec elle. C’est elle qui orientera le Mambay dans ses ambitions les plus futuristes. Aucun peuple n’admire un autre. Chaque peuple cherche à suivre d’abord d’une façon modeste les traces de ses ancêtres avant d’assimiler des valeurs étrangères ; mais il ne coupe pas totalement avec ses racines !
  
                        (…à suivre…)
 
 
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Participez à la péparation du festival des danses traditionnelles Mambay qui aura lieu en fin de cette année 2009 à BIPARE. Les danses sont: BILIM, NAZIZAAH, DALINGA, GOUMBA, GANNGA,
BOUCARRE, PBAKRAK ou LABOURE.

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Centre de Santé à Kakou
 
Participez à la construction du Centre de Santé de KAKOU dans l'Arrondissement de Bibémi, Département de la Bénoué, Province du Nord.



Assemblée générale de CODEBOL (Comité de Développement de la Région de Bolgui: Kakou, Bouza, Piaga et Lazoua) à Kakou en 2006.



La région de Kakou enregistre
beaucoup de décès:

Les victimes les plus vulnérables sont des enfants et des personnes âgées. Un autre cas le plus alarmant et regrettable, c’est l’accouchement difficile chez les femmes; une femme sur cinq meurt pendant ou après un accouchement difficile. Il faut réduire la mortalité infantile dans la région de Kakou et assurer la santé des femmes de la gestation jusqu’à l’accouchement ;

Objectif spécifique du
centre de santé à Kakou:


1). Permettre aux villageois de la région de Kakou d’accéder facilement aux soins médicaux ; 2). Combattre les maladies endémiques et chroniques dans la région: le paludisme, la bilharziose, les maladies du foie, les vers intestinaux ; 3). Participer à l’amélioration de l’espérance de vie dans la région de Kakou.

Voir le projet ici ...
Rado Communautaire Rurale
 
Participez à la construction de la Radio Communautaire Rurale à Figuil, Département du Mayo-Louti, Province du NordCameroun.
Scolarisation de la Jeune Fille
 
Participez à la sensibilisation des populations de la région du Lac KAKOU (Province du Nord Cameroun) sur la scolarisation de la jeune fille. La situation est prise en main par les comités de Développement des villages dont: CODEBOL, CODEKA et CODELABI.


Assemblée des jeunes gens à Bissoli en 2006, encourageant le scolarisation des jeunes Mambay. Cette Assemblée fut l'oeuvre acharnée des Etudiants et Elèves Mambay regroupés sous le nom d'une association culturelle appelée NASOUZI.



Assemblée générale de CODEKA (Comité de Développement de Kakala, dont le Président est M. Moussa Ousman Tao) en 2006 à Kakala. Beaucoup d'invités dont M. Le Sous-Préfet de Guider et M. Harouna Nyako l'Honorable Député-Maire de Guider. M. Harouna Nyako posa aux populations de la région de Kakala, la question de savoir "POURQUOI LES MAMBAYS ONT-ILS ABANDONNE LEURS DANSES TRADITIONNELLES, QUI ETAIENT POURTANT TRES BONNES". Il les exhorta en suite à restaurer leurs cultures. Il ajouta: "C'est les traditions qui constituent l'histoire d'un peuple. Avant les Mambay et les Guidar de Lam representaient culurellement notre Département de Mayo-Louti, lors des grandes réception. Mainentenant il n'ya que les populations de Lam qui nous donnent fierté! Où sont restés les Mambays?"



Assemblée Générale de CODEBOL à Kakou en 2006: la scolarisation des jeunes gens était à l'ordre du jour. Le Président de CODEBOL M. Halidou Djeilani exhorta les populations de la région de Bolgui et les autorités administratives de l'Arrondissement de Bibémi à lutter contre la sous-scolarisation des jeunes Mambay. Il plaida aussi en faveur d'une création d'un centre d'Etat Civil à Kakou, ce qui faciliterait l'établissement des actes de naissances aux enfants.


En premier plan de G. à D.: M. Halidou Djeilani, M. Oumarou Denis, l'Adjoint D'Arrondissement de Bibémi.
Vive la culture Mambay
 
La culture Mambay doit survivre: Restauration, Valorisation, Développement et Préservation. La culture est la première richesse que nous ont léguée nos parents.


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